20 février 2020
Colossal 2016 Nacho Vigalondo
Voilà un film improbable qui mêle une histoire de coeur quelque part aux États Unis, sans grand intérêt, à une autre histoire de robots/monstres géants qui piétinent Seoul, sans grand intérêt non plus, faut le dire. Sauf que les deux se répondent, mêlent l’intime au gigantesque, et que, pour improbable et inattendu que ce soit, ce drame sentimental matiné de'hommage au kaiju eiga fonctionne à fond, chaque partie enrichissant l’autre. Une des bonnes surprises vues cette année. (vu en 2017-2018)
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